Nos circollections
SYNOPSIS
Elles sont deux… Depuis des années, elles parcourent le monde pour recueillir des témoignages, des récits, des anecdotes de cirque.
Ce qui les intéresse plus particulièrement ce sont les histoires de cirques intérieurs, celles qui se traduisent dans la vie de tous les jours car le cirque est partout. Parfois invisible pour les yeux, il nous habite souvent.
Lu et Clo, chercheuses en histoires circassiennes les font voyager dans une collection mobile afin qu’elles soient transmises et demeurent vivantes. C’est comme cela que leur «Circollection » continue de s’étayer à chaque rencontre, parce que du cirque il y en a vraiment partout. La preuve…
Écriture
Chloé Duvauchel
Dessin
Lucie Lastella
Recherche / interprétation
Chloé Duvauchel & Lucie Lastella
Maïeutique
Nicolas Duvauchel & Marianne Hansé
Soutien artistique
Bernard Chemin
Oreille complice / mise en ondes
Stéphane Podevin
Scénographie collective
Création textile
Marie Kersten
Construction
Paul Ernouf, Antoine Petit
Production La Relative
Coproduction le théâtre du Papyrus à Bruxelles, le Plus Petit Cirque du Monde à Bagneux, festival Utopistes/ MPTA à Lyon, CIRCa PNAC Occitanie à Auch, Théâtre de l’Agora-Desnos SN de l’Essonne à Evry, La Verrerie PNAC Occitanie à Alès.
Soutiens et accueils en résidence Réseau CirquEvolution, le Plus Petit Cirque du Monde, le CREAC de Bègles, le CRABB de Biscarrosse, le Champ de Foire à Saint André de Cubzac, CIRCa PNAC Occitanie Auch, Théâtre de l’Agora-Desnos SN de l’Essonne à Evry, La Verrerie PNAC Occitanie Alès, Le Périscope à Nîmes, la métropole de Rouen.
Avec l’aide financière de la DRAC–ARS Île de France dans le cadre d’un projet Culture & Santé, la DRAC Nouvelle-Aquitaine pour l’aide au projet, le département du Gers, le service de la création artistique de la fédération Wallonie-Bruxelles.
Espace Pro
Les merveilleurs
Création collective
SYNOPSIS
Il a longtemps niché tout seul parmi les cadres de ses mystérieuses peintures jusqu’à l’arrivée d’une drôle d’oiseau-demoiselle attirée par la lumière et venue se reposer un instant.
Elle collectionne les impressions de ses voyages.Lui, il rêve aux vagues, aux nuages, aux oiseaux qu’il aimerait mettre dans sa peinture.
Ensemble ils vont veiller la lumière des histoires qui ne doit jamais s’éteindre.
Les merveilleurs sont ceux qui veillent sur
la lumière, sur les autres, sur la mer,
sur la beauté des choses les plus infimes
parfois et s’en émerveillent.
Conception et interprétation
Bernard Chemin
Michèle Nguyen
Equipe de création
Bernard Chemin
Didier de Neck
Marianne Hansé
Michèle Nguyen
Fred Postiau
Collaborateurs artistiques
Manon Dumonceaux
Une production réalisée en partenariat avec le théâtre la montagne magique, La Roseraie, festival La Marelle/Théâtre Dest (F)
Les enfants d’amazi
Une coproduction du théâtre du Papyrus, d’Ishyo Arts Centre et Full Fun
SYNOPSIS
Dans la région des Grands Lacs, la rumeur s’est répandue comme une trainée de poudre : En une seule nuit noire et sombre, tous les lacs se sont vidés, les fleuves et les rivières ne coulent plus. Que s’est-il donc passé ?
Pourquoi l’eau a-t-elle déserté la terre et les forêts ? Les arbres ne donnent plus de fruits, les champs plus de sorgho ni de blé… la moindre étincelle serait capable de tout détruire et de mettre en feu la terre entière.
Comment rendre à ce pays la vie harmonieuse qu’il connaissait auparavant ?
Ensemble, c’est ce que nous allons tenter de découvrir…
PRESSE
SMALL CITIZENS
Le projet de coopération culturelle et de développement SMALL CITIZENS est né d’une volonté commune de Ishyo Arts Centre (Rwanda) et du Théâtre du Papyrus (Belgique) de déployer un réseau de théâtre jeune public dans la région des Grands Lacs (sous-région Rwanda, RDC, Burundi). La collaboration s’est initiée suite à l’invitation faite au Théâtre du Papyrus de venir au KINA festival de Kigali avec son spectacle Le petit peuple de la brume.
Au fil des échanges, l’envie est née de dépasser l’unique objectif de diffusion et d’inscrire cette tournée dans une collaboration artistique plus large. Ainsi, dans une dynamique de partage de connaissances, les deux partenaires ont accompagné une vingtaine d’artistes locaux dans le développement de leur travail artistique, en laissant l’espace aux initiatives personnelles, à la créativité et à la recherche collective.
La thématique « comment apprivoiser sa colère » abordée dans Le petit peuple de la brume a été le point de départ des ateliers proposés, la trame à partir de laquelle les artistes ont imaginé tout au long du projet et de ses huit missions, le spectacle Les enfants d’amazi.
Une expérience qui a permis de croiser des regards autres, de créer des points de rencontres et de faire émerger un vivier d’artistes, pouvant s’appuyer sur leur potentiel pour concevoir des spectacles à destination des jeunes spectateurs.
Ainsi, au sein du projet SMALL CITIZENS, Les enfants d’amazi et Le petit peuple de la brume sont à la fois liés par une proximité de forme et singuliers par la vision propre de chaque création sur la situation.
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Une coproduction du Théâtre du Papyrus (Belgique), d’Ishyo Arts Centre (Rwanda), Full Fun (Belgique), théâtre Les Bambous, scène conventionnée d’intérêt national de Saint-Benoît (La Réunion) et Pierre de Lune, Centre Scénique Jeunes Publics de Bruxelles (Belgique).
Création collective d’après une idée originale de Rivardo Niyonizigiye.
Sous la direction de Bernard Chemin, Carole Karemera et Denis Mpunga
Collaboration à l’écriture
Isabelle Pillot, Freddy Sabimbona
Collaboration à la mise en scène
Didier de Neck
Scénographie
Samuel Daddy Ishimwe, Moses Izabiriza et Patrick Shyaka Niyigena sous la direction de Christine Flasschoen.
Direction musicale
Hervé Twahirwa
Régie Générale
Judo Kanobana, Emmanuel Uketwengu (Papy) sous la direction de Fred Postiau
Interprétation en alternance
(5 artistes)
Gretha Ingabire, Kento Juma, Kelly Kimana, Jackson Muhindo, Abdul Mujyambere, Claudia Shimwa, Eliane Umuhire, Rivardo Niyonizigiye, Arthur Banshayeko, Dorine Munezero, Audace Ndabahawe et Elysée Nimubona.
Chargée de production
Valérie Kohl
Photos
Hubert Amiel, Orianne Lopes
Equipe de création
les interprètes et Patrick Amizera, Emmanuel Bagirishya, Rémy Iradukunda, Jonathan Ishimwe, Daniel Kalibana, Yannick Kamanzi, Jean de Dieu Kamel, Benoit Kikwaya, Hervé Kimenyi, Chiku Leandre Lwambo, Chito Lwambo, Alhadji Malenge, Gloria Hortense Mugisha, Louise Mutabazi, Didacienne Nibagwire, Bruce Canda Niyonkuru, Chris Rutayisire, Kelly Umuganwa Teta, Sonia Uwimbabazi, Andersonne Uwineza.
Collaborateurs artistiques
Guy Carbonnelle, Jean-Claude De Bemels, Aurélie Dorzée, Michael Sengazi, Olivier Waterkeyn.
Une production réalisée avec le soutien financier de la Commission internationale du théâtre francophone (CITF), Wallonie-Bruxelles International (WBI), le Centre Scénique Jeunes Publics de Bruxelles Pierre de Lune, le programme Afrique et Caraïbes en création/Institut Français, la Fédération Wallonie-Bruxelles (FW-B), la Commission communautaire française (COCOF), l’Organisation International de la francophonie (OIF).
En partenariat avec le théâtre La Montagne magique (Belgique), la compagnie Umunyinya (Burundi), le Foyer culturel de Goma (RDC).
Le petit peuple de la brume
Prix du Ministre de l’Enseignement fondamental et Coup de foudre de la presse aux Rencontres de Théâtre Jeune Public de Huy 2002.
SYNOPSIS
Après quelques pas dans le brouillard, nous allons découvrir un pays étrange envahi par une brume incessante qui obscurcit le ciel au point que le soleil ne transparaît jamais. Il y règne un froid glacial. Toute vie semble impossible. D’autant plus qu’apparemment tout a brûlé.
Mais en y regardant mieux et avec un peu d’imagination… !!!
Le petit peuple de la brume est toujours là. Les habitants ont abandonné leur village pour se réfugier dans des trous afin de résister au froid.
Mais qui est responsable de ce climat malsain ? D’où vient ce feu qui a tout détruit et comment l’apprivoiser pour qu’il réchauffe enfin le pays et ses habitants ?
PRESSE
Le Ligueur
18 septembre 2002
sarah colasse Ce moment de magie se trouve habilement entretenu par des comédiens complices du public dans la découverte. Les enfants appréhendent ces trouvailles comme autant de trésors. La musique (harpe, violon, flûte…), les chants, l’ambiance feutrée, les petites marionnettes pleines de vie cisèlent ce bijou que l’on a peine à quitter…
La Libre Belgique
18 septembre 2002
laurence bertels Avec « Le petit peuple de la brume », le Papyrus offre une transformation poétique, un théâtre digne de ce nom, change le feu destructeur en ami salvateur… Vrai moment de bonheur, approche théâtrale, musicale rare et réconciliatrice qui de Manosque à Montréal a déjà conquis de nombreux jeunes spectateurs.
Le Soir
25 août 2002
laurent ancion […] jeu d’acteur, verve de conteur et art de la marionnette se combinent pour créer une sorte d’anticyclone magique, un petit espace où se rencontrer en souriant, à l’affût d’un petit peuple perdu. Le Théâtre du Papyrus nous mue en explorateurs inattendus et laisse les enfants présents bouche bée.
La Libre Belgique
26 août 2002
laurence bertels […] une création pour enfants dès 4 ans. Ceux-ci repartiront embrumés de jolis rêves grâce à l’éternelle poésie de Bernard Chemin et de son théâtre celui du Papyrus, auquel on doit déjà « Souris Valentine », « Hulul » ou « Miroir », trois bijoux ni plus ni moins. « Le petit peuple de la brume » vient grandir ce collier de perles…
Club Culture (Québec)
31 mai 2002
sylvie rheault […] et les clochettes teintent, le rire des enfants aussi. En sortant de la cheminée, il nous reste à constater que la vie triomphe, chaude comme une flamme.
Le Soleil (Québec)
27 mai 2002
jean st-hilaire […] je fonds d’ailleurs d’émoi à l’évocation du « petit peuple de la brume », spectacle caressant et bouleversant de poésie du Théâtre du Papyrus, sur la transmission du feu, métaphore de tous les présents, à commencer par ceux de la création et du savoir.
Nord Éclair (France)
14 octobre 2005
B.D […] c’est la rencontre avec ce peuple de marionnettes, sensibles et définitivement vivantes, qui évoluent sous les doigts des acteurs. Musiciens, comédiens, chanteurs, marionnettistes, les trois narrateurs alimentent ce songe de toutes parts. Il n’y avait plus d’adultes face à cette histoire tendre et drôle: c’est à l’enfance que parlent ces petits bonshommes.
Équipe
de création
Bernard Chemin, Julie Chemin, Gaëlle Clark, Didier de Neck, Emmanuel Fardeau, Christine Flasschoen, Caio Gaïarsa, Marie Kersten, Jérôme Lagrange, Anne-Marie Loop, Denis M’Punga.
Équipe
de mise en scène
Bernard Chemin, Didier de Neck, Emmanuel Fardeau, Caio Gaïarsa
Scénographie et marionnettes
Christine Flasschoen
Aide à la création du décor
Guy Carbonnelle, Céline Robaszynski, Olivier Waterkeyn
Régie générale
Roger Verhoven
Distribution
Bernard Chemin, Denis M’Punga, Christine Flasschoen et Fred Postiau
Espace Pro
Hulul
D’après le livre d’Arnold Lobel, paru aux Éditions « L’école des loisirs ».
Prix du Jury avec mention spéciale pour l’ensemble du spectacle, prix du Ministre de la Culture et Coup de foudre de la presse aux Rencontres de Théâtre Jeune Public de Huy 1994.
SYNOPSIS
Hulul, le hibou, Hulul, le solitaire, n’est jamais aussi heureux que lorsqu’il a des invités. Ce soir, il vous ouvre sa porte, à vous ses amis, et rien ne pourra l’empêcher de vous raconter ce qu’il note dans ses livres tandis que l’horloge égrène les heures de la nuit : ses aventures et ses mésaventures, ses découvertes, ses peurs, ses amitiés.
Alors, installez-vous bien dans le creux de son arbre et voyez comment l’hiver fut son invité un soir de vent et de froidure, comment follement il essaya d’être en même temps à l’étage et au rez-de-chaussée, comment son lit fut habité par des bosses étranges et comment il en perdit le sommeil.
Écoute comment il trouva la recette du thé aux larmes et comment il se fit de la lune une fidèle amie.
PRESSE
Le Devoir (Québec)
mai 1996
michel bélair La mise en scène tout comme la scénographie dans laquelle elle s’incarne est un petit bijou de précision et de justesse, mettant sans cesse en relief le délire heureux d’Hulul.
Le Soir
août 1994
christelle prouvost Débordant de surprises et subtilités, le nouveau spectacle du Théâtre du Papyrus est une pure merveille, de celle qui fait battre le cœur plus vite, écarquiller les yeux tout grands. Trésor tactile, sonore et visuel, « Hulul » ne cesse de titiller les sens et de faire naître la magie pour le ravissement de tous ceux qui se sont lovés dans cette maison habitée par tout un petit monde d’objets taquins et câlins.
Les nouvelles calédoniennes
octobre 1997
o. bonetti Ce spectacle est un vrai délice. De ceux qui font rêver petits et grands, les transportent dans un véritable conte de fées où un vieux hibou se met à parler… pour raconter des histoires.
Le Ligueur no 38
septembre 1994
monique bosman & claire coljon À chaque instant, une trouvaille exquise. Tellement que charmés, on espère la suivante. Et elle vient, pleine d’humour fantasque, là où on ne l’attendait pas. Un spectacle qu’on reçoit comme un cadeau.
La Libre Belgique
septembre 1994
claire diez Les objets y ont une âme, une musique, des désirs et des volontés. Ce monsieur Hulul est un doux poète désobéissant. Régal de fantaisie dans la ouate chaude de l’imaginaire.
Création
Pierre-Alain Breeveld, Bernard Chemin, Didier de Neck, Rose Hansé
Adaptation
Rose Hansé avec l’équipe de création
Scénographie et costumes
Damien Chemin, Christine Flasschoen
Musique
Airs traditionnels interpretés par Steve Houben (flûte), Francine Balthus (claviers), Michel Graillier (piano), Jo Van Houten (contrebasse), Bernard Chemin (banjo « koto »)
Régie et manipulation
Jérôme Lenain, Fred Postiau ou Nicolas Duvauchel
Comédien
Bernard Chemin
Espace Pro
Souris Valentine
De Rose Hansé
Prix Jeune Public de la COCOF 1992.
SYNOPSIS
Valentine, c’est la souris la plus folle que je connaisse. Coquine, distraite, tendre, téméraire, imprévisible.
Valentine, c’est la plus adorable des amies et je ne peux rien lui refuser.
— Une nouvelle maison ?
— C’est comme si c’était fait !
— Une tasse de thé ?
— Bien volontiers !
J’adore prendre le thé avec Valentine. Elle me raconte des histoires incroyables, des histoires qui lui sont arrivées et qu’elle a notées dans son grand cahier.
Aujourd’hui encore, Valentine est en retard. C’est sûr, elle me prépare une surprise, un traquenard qui la fera rire aux éclats.
Et moi, comme d’habitude, je me laisserai faire car j’ai oublié de vous dire : j’adore son rire.
PRESSE
La Libre Belgique
25/08/90
Les très petits enfants se laisseront séduire par la simplicité de l’histoire et des mots, la manipulation gracieuse d’accessoires miniatures, l’élaboration ingénieuse d’un décor d’aventures pour souris en quête de son rire… ou d’elle-même. Un moment paisible et doux comme les souris espiègles.
Le Drapeau Rouge
26/08/90
Encore une souris (qui a perdu le sourire) Valentine avec le Théâtre du Papyrus et Rose Hansé dans le registre de l’intimisme et la précision du détail pour créer – de manière quasi magique – tout un paysage poétique…
Le Ligueur
28/09/90
C’est un spectacle délicat, teinté d’humour tendre.
Dieppe
mai 1992
Destiné aux tout-petits, le spectacle Souris Valentine a permis de mesurer tout l’intérêt d’un théâtre plein de grâce, de simplicité, de poésie. La jolie Valentine devient symbole de tendresse, d’astuce, de malice. Elle prend le thé, raconte des histoires, fait des poèmes, écrit son journal, gère ses petits soucis quotidiens.
Journal du Rat Bougris
13/05/9
À cause des mots, de comment ils étaient dits, à cause de ce qui était fait en racontant, j’ai vu vivre Valentine dans les yeux des enfants qui écoutaient en rêvant, en imaginant Valentine.
Auteur
Rose Hansé
Mise en scène
Hilde Cromheeke,
Bernard Chemin
Musique
Jean Debefve
Réalisation du décor
Bernard Chemin
Illustration
René Hausman
Régie
Fred Postiau
Comédienne
Sophie Museur
Espace Pro
Mais je suis un ours !
Adaptation très libre de « MAIS JE SUIS UN OURS ! », d’après le livre de Frank Tashlin, paru aux Éditions «L’école des loisirs».
Mention pour « le voyage dans le théâtre » aux Rencontres de Théâtre Jeune Public de Huy 2015.
SYNOPSIS
Dans la grande forêt, un ours, sentant l’hiver venir, s’endort paisiblement dans sa caverne.
Pendant ce temps, un théâtre ambulant s’installe juste au-dessus de lui.
À son réveil, la forêt a disparu et l’ours découvre un monde étrange qu’il ne comprend pas !
— Au travail !
— Mais je ne travaille pas ici !
— Qu’est ce que vous faite là alors ?
— Je ne sais pas, je suis un ours…
— Facile de dire qu’on est un ours pour ne pas travailler.
Allez apprendre votre texte et enlevez moi ce costume ridicule.
PRESSE
La Libre Belgique
dimanche 16 août 2015
laurence bertels Même Macbeth et la forêt qui marche seule seront de la partie, celle qui pose la question de la place de chacun et rend hommage au théâtre, un thème rabâché certes, mais qui fait toujours rêver surtout lorsqu’il est traité avec un tel raffinement et une belle complicité entre marionnettes et comédiens.
La Libre Belgique
dimanche 16 août 2015
laurence bertels Toujours aussi minutieux, Bernard Chemin déploie l’imaginaire des enfants grâce à un zeste d’humour précieux dans une création qui propose un bel univers poétique et se lit à plusieurs degrés.
Le Soir
mardi 18 août 2015
catherine makereel Dans « Mais je suis un ours ! », tout est prétexte à dévoiler avec poésie l’envers du décor, les coulisses du théâtre, et ses miraculeuses ficelles.
ÉQUIPE
DE CRÉATION
Bernard Chemin
adaptation, mise en scène
Christine Flasschoen
adaptation, scénographie, marionnettes
Fred Postiau
éclairages, régisseur, comédien
Céline Taubennest
comédienne, marionnettiste
Michel Verheyden
comédien, marionnettiste
CONSTRUCTION
DU DÉCOR
Olivier Waterkeyn
Guy Carbonnelle
Fabrice Anselme
Avec l’amicale complicité de Didier de Neck, Yves Coumans et Jean-Philippe Collard-Neven.
Merci au Wolubilis, à l’Art-E de Dieppe, au CDWEJ et à La Montagne Magique pour leurs accueils en création.
Espace Pro
Haïku
Prix du Ministre de l’Enfance aux Rencontres de Théâtre Jeune Public de Huy 2012.
SYNOPSIS
Dans un château, plein de toiles d’araignée, vit un petit homme tout habillé de bleu. Il s’appelle Bozo. Bozo vit seul, très seul. Il regarde la lune au loin… et sur la lune, il pense avoir vu une ombre bouger. « Une ombre ? Une araignée ? Une fée ? Un papillon ??… Mon amie change tout le temps », pense Bozo. Mais, à minuit, tout sera fini. L’hiver, dans un soupir, retourne sur la lune. « À demain, petite fée », crie Bozo.
PRESSE
Le petit Cyrano n°132
février/mars 2012
cali kroonen Deux papillons de papier volent, s’approchent d’une flamme, s’embrasent, disparaissent. Merveille éphémère, beauté que seul souvenir empêche d’être fugace. Devant moi, les enfants se taisent subjugués, je sens leurs yeux écarquillés. A mes côtés, un vieil homme qui n’en est pas à son centième spectacle, plutôt le millième, pleure. Moi j’ai 5 ans, je ne sais plus ce qu’est une dramaturgie ou une scénographie, j’ai 5 ans, je crois que la magie est magique, je suis soudain convaincue que la vie est pleine de papillons en perpétuelles métamorphoses.
Dossier des rencontres de Huy / La Libre Culture
septembre 2012
laurence bertels […] Bozo, bonhomme solitaire, marionnette à la tête en tasse de thé, parfois ornée d’une marguerite, se balade dans ce château hanté de poésie, perçoit l’ombre d’une araignée, d’une fée, ou d’un papillon sur la lune… Il ne sait pas, en réalité, mais saisit l’émotion de chaque instant à l’image du « Haïku », titre d’un spectacle truffé de merveilles.
Le Soir
août 2012
catherine makereel Comment ne pas fantasmer quand on sort d’une heure de mirage poétique, de théâtre d’objets aux vertus illusionnistes, hors temps ? Avec Haïku de Didier de Neck et Bernard Chemin, on entre dans une autre dimension, où les bougies se tortillent comme des serpents, la lune se fait montgolfière…
Le Ligueur
septembre 2012
philippe mathy Nous voici partis, guidés par la petite marionnette qui ne veut pas rester seule et poursuit des ombres, dans une féerie visuelle dont chaque séquence à la légèreté poétique d’un haïku. Un piano se met à jouer seul, un château de glace s’élève dans les airs, une petite fée apparaît, se transforme en papillon… On nage dans l’onirisme, dans un univers magique.
DISTRIBUTION
Bernard Chemin, Didier de Neck
Auteurs
Didier de Neck
Mise en scène
Manu Fardeau
Assistant à la mise en scène, coaching marionnettes
Bernard Chemin
Musique
Matthieu Vandenabeele
Arrangements et interprétation piano
Christine Flasschoen, Bernard Chemin
Scénographie et marionnettes
Françoise Van Thienen
Costumes
Benoît Lavalard
Éclairages
Bertrand Dugas, Jérémie Hynderick, Marie Nils, Margaud Carpentiers, Fred Postiau
Réalisation des décors
Jérôme Lenain
Régie
Bernard Chemin, Christine Flasschoen, Marc Draime
Comédiens/manipulateurs
Merci à la Régie Mobile pour la Culture, La Roseraie, au CDWEJ, Les Chiroux, La montagne magique, Pierre de Lune et l’amicale complicité de Marianne Hansé, Guy Carbonnelle, Xavier Lauwers, Gaëlle Clark, Marc Doutrepont, Matthieu Chemin, Nicolas Duvauchel, Stéphanie Kaye, Michel Van Brussel, Jef Dubois.
L’enfant de pierre
SYNOPSIS
Petit, Pierre venait souvent se réfugier au pied d’un arbre étrange qui poussait au fond du jardin.
Le regard vide, il fixait le ciel en silence.
Au fond de son cœur, petit Pierre gardait un lourd secret. Alors, il restait là longtemps, très longtemps, caché, immobile comme un caillou.
Aujourd’hui, il est de retour et dans le terrain vague de ses souvenirs lointains, il nous raconte comment, croyant qu’on l’avait laissé tomber, il a réussi malgré le poids de son chagrin à prendre son envol… le cœur léger.
PRESSE
www.rueduthéâtre.eu
août 2012
michel voiturier […] le co-auteur-marionnettiste-interprète, chemine à travers le passé. Il nous emmène affectueusement avec lui. Et nous lui tenons compagnie avec ravissement. La lenteur même du spectacle permet la quiétude. Les surprises à répétitions de la scénographie ravivent l’attention. La terre recèle mille trésors.
Tous en Scène / Le Soir
septembre 2012
catherine makereel Voici l’histoire d’un petit garçon dont le cœur est devenu lourd quand son père est parti faire fortune ailleurs. Un arbre étrange sculpté dans une cheminée d’usine, une triste marionnette de pierre qui attendrirait un cœur en caillou, de petites loupiotes alignées sur un fil pour évoquer les mineurs de fond : tout cela compose un univers mélancolique et tendre portée par la douceur souriante de Maxim Durin.
Le Ligueur
septembre 2012
philippe mathy […] D’ailleurs, « ce gosse, tête de pioche ! » s’exclamait sa mère. Mais les copains qu’il s’inventait dans son terrain vague lui procuraient joies et réconfort. Emu, il les retrouve aujourd’hui : une pelle et de vieux clous ressuscitent Pirate, le précieux compagnon de jeu. Deux feuilles et une musique : des oiseaux volent. Et leurs plumes sont autant de symboles, transmis par Pépé l’oiseau. Une longue cheminée à branches et fenêtres représente l’immeuble et la cité. En plus du rebond salutaire qui peut suivre la peine, raconter la mine et son déclin à des petits nous semble un vrai défi.
La Libre
septembre 2012
laurence bertels […] Sur fond de musique baroque, « L’enfant de pierre », imaginé, écrit et mis en scène par Bernard Chemin, mêle habilement nostalgie et inventivité. Avec deux pierres, on crée un gamin et avec de la sincérité, on captive une salle entière.
Distribution
Bernard Chemin
Imaginé, écrit et mise en scène
Maxim Durin
Comédien et co-auteur
Christine Flasschoen, Bernard Chemin
Scénographie et marionnettes
Fred Postiau, Jérôme Lenain, Christine Flasschoen, Clovis Salvador
Réalisation du décor
Jérôme Lenain, Fred Postiau
Eclairages
Fred Postiau
Régie
Merci à la Régie Mobile pour la Culture et l’amicale complicité de Marie Delhaye et Didier de Neck
Espace Pro
Une paire d’amis
Adaptation de plusieurs histoires de Ranelot et Bufolet d’Arnold Lobel.
Prix du Ministre de l’Enseignement fondamental, Coup de cœur de la presse aux Rencontres de Théâtre Jeune Public de Huy 2008
SYNOPSIS
En tendresse, en humour et en poésie, une paire d’amis sincères et inséparables regarde passer les saisons. Naïfs et terre-à-terre à la fois, ils découvrent qu’entretenir un jardin et une maison c’est comme l’amitié, cela demande beaucoup de travail mais qu’à cela ne tienne, ils sont capables de faire de grandes réserves de volonté. Toujours prêts à surprendre, ils doutent parfois d’être courageux et pourtant ils savent qu’un bon frisson peut aussi être très agréable mais le vrai secret qui les rend si attachants, c’est qu’ils traversent la vie en philosophant sur toutes les petites choses qui les entourent et ce malgré eux.
Par une initiative d’amitié, Matthieu et Nicolas, amis à la vie comme à la scène, ont à plusieurs reprises et depuis des années posé les jalons de cette création. Adolescents déjà ils adaptaient et présentaient plusieurs histoires de Ranelot et Buffolet d’Arnold Lobel. Le temps et les saisons ont passé mais leur désir et leur détermination à en faire un spectacle n’a jamais perdu de son intensité et leurs volontés, soutenues par Le Théâtre du Papyrus, les amènent aujourd’hui devant vous.
PRESSE
Le Soir
22 août 2008
jean-Marie wynants Nous voici donc chez Bufolet le crapaud, en compagnie de Ranelot la grenouille. Les deux amis discutent, philosophent gentiment, se taquinent, s’entraident, jouent à se faire peur, cultivent un jardin merveilleux, escaladent des montagnes, tremblent devant le grand crapaud noir et se racontent des histoires. Accompagné par Matthieu Vandenabeele au piano, les deux complices nous embarquent avec une aisance confondante dans leurs petites aventures. On est séduit d’emblée par une scénographie merveilleuse et pleine de ressource qui nous plonge dans le salon de Bufolet, juste au bord de l’étang (….) Mais il y a surtout ce duo, jouant tout en retenue, en douceur, en humour, et en total complicité avec le public. Un vrai bonheur.
La Libre Belgique
22 août 2008
laurence bertels Ranelot et Bufolet, grenouille et crapaud de leur état, prennent le thé dans le salon après avoir tenté d’embellir le jardin désordonné du naïf et paresseux Bufolet. De joyeux trucages en acrobaties sur pot de terre ou lampadaire, on frémit, on rêve, on sourit. On n’est plus au théâtre mais dans la maison des batraciens, un biscuit aux mouches au bord des lèvres. Matthieu Chemin et Nicolas Duvauchel jouent les histoires de Ranelot et Bufolet depuis leur adolescence. D’où sans doute, leur aisance sur nénuphars.
Coup de cœur de la Presse – Rencontres de Huy
2008
On est d’abord séduit par une scénographie pleine de merveilleux, une ambiance instantanément accueillante, chaleureuse. Puis, on découvre les personnages, irrésistibles et magistralement interprétés par un duo de comédien jouant tout en retenue, en douceur, en humour et en total complicité avec le public. Alors on craque, on fond, on plonge dans la mare avec Ranelot et Bufolet et leur complice musicien. Et on se dit que si on pouvait, on aimerait avoir une telle paire d’amis.
Distribution
Matthieu Chemin, Nicolas Duvauchel et Bernard Chemin
Equipe de création, adaptation
Bernard Chemin
Mise en scène
Coline Vergez
Aide à la Scénographie
Christine Flasschoen, Natacha Belova, Coline Vergez, Jérémie Hynderick, Grégoire Hanriot, Géraldine Mélis, Elsa Debefve, Guy Carbonnelle et Olivier Delforge
Aide décors et costumes
Matthieu Vandenabeele (piano)
Décor sonore
Jérémie Hynderick
Lumières
Matthieu Chemin, Nicolas Duvauchel et Matthieu Vandenabeele
Acteurs
Merci à Christine Cloarec, la Roseraie, Peter Dossin, Jean-François Jacobs, Didier et Marianne.
Espace Pro
Le moulin à paroles
D’après le livre de Nicolas Bianco-Levrin, paru aux Éditions « Les portes du monde ».
Mention du jury pour « la simplicité et l’imaginaire » aux Rencontres Théâtre Jeune Public de Huy 2007.
SYNOPSIS
Dans sa maison, le petit apprend à écrire. Il invente des histoires qu’il est le seul à comprendre. Un jour, tante Kohan apporte des grains de mystère dans la maison du petit. Et, ce jour là, apparaît un moulin très spécial.
Un moulin si spécial que quand il parle, toutes les lettres sont mélangées. Dans la maison du petit, certains détestent ce qu’ils ne comprennent pas. Il y en a même qui crie : « rentre chez toi moulin tout mélangé ! » Dans sa maison, le petit ferait tout pour consoler le moulin si étrange. Mais, il y en a même qui crie ; « rentre chez toi ou tu vas voir ce que tu verras ! » Personne ne peut éviter la catastrophe.
Personne ?
C’est oublier tante Kohan et son bateau qui cherche la mer.
Dans la maison du petit, tous découvrent un moulin surprenant de beauté.
PRESSE
www.ruedutheatre.info
Samedi 25 août 2007
michel voiturier Les mini-marionnettes en mousse permettent une multitude de manipulations plus drôles les unes que les autres. Les objets qui les accompagnent et parfois sont leurs partenaires à part entière s’accumulent, se métamorphosent. La reine de la représentation est assurément l’inventivité.
Le Soir
Vendredi 24 août 2007
jean-marie wynants Le théâtre du Papyrus livre le moulin à paroles (dès 4 ans) un spectacle touchant, plein de poésie et d’humour mais encore très fragile. Fujio Ishimaru et Bernard Chemin s’adressent aux enfants en toute complicité, restant eux-mêmes durant tout le spectacle et jouant avec d’étranges petits personnages de mousse. Les surprises surgissent de partout, manipulées à l’abri des regards par Jérémie Hynderick de Theulegoet. C’est léger comme une bulle de savon et inventif en diable.
La Libre culture
mercredi 5 septembre 2007
laurence bertels Un univers s’ouvre aux petits. De gros livres posés sur la table, un chat endormi, un pêcheur au bord de l’aquarium et une fenêtre ouverte sur le monde. Dans la maison, l’enfant apprend à écrire. Quelles histoires comprennent les livres ? Barnard Chemin, Fujio Ishimaru et Jérémie Hynderick de Theulegoet les racontent aidés par la fantasque tante Kohan venue apporter ses grains de mystère. Théâtre d’objets et de marionnettes, « le moulin à paroles » souffre parfois de confusion mais offre son lot de magie et de poésie. Belle complicité entre le tendre Bernard Chemin et l’inénarrable Fujio Ishimaru, en japonais dans le texte et parfois dans le récit. Un spectacle inventif mis en scène par Didier de Neck et Bernard Chemin. L’aventure s’achève par les applaudissements sincères des jeunes spectateurs.
Équipe de création
Bernard Chemin, Didier De Neck, Christine Flasschoen, Fujio Ishimaru, Jérémie Hynderick de Theulegoet, Bertrand Dugas, Jean-Luc Piraux, Gaëlle Clark, Anne-Marie Loop, Emmanuel Fardeau et Florence Laloy
Mise en scène
Didier De Neck et Bernard Chemin
En collaboration avec
Christine Flasschoen, Jean-Luc Piraux et Emmanuel Fardeau
Distribution
Christine Flasschoen
Scénographie et marionnettes
Bernard Chemin, Fujio Ishimaru et Jérémie Hynderick de Theulegoet
Distribution
Karim Baggili
Musique
Xavier Lauwers
Eclairage
Marie Nils
Fabrication des costumes
Clovis Salvador
Aide à la construction des décors
Merci à Jean-Claude Bisotto et à Stéphane Dumoutier de la Maison Jacques Prévert à Dieppe et au Théâtre La montagne magique pour leur collaboration dans le processus de création du spectacle.
La petite ombre
Une création du Théâtre du papyrus et du Théâtre populaire d’Acadie (Nouveau-Brunswick, Canada), en partenariat avec Les Gros Becs, centre de diffusion de théâtre jeunesse (Québec).
Coup de cœur de la presse aux Rencontres de Théâtre Jeune Public de Huy 2002
SYNOPSIS
Petit, Daniel avait rêvé avec son père d’agrandir la maison et d’y installer un phare. Seule maison donnant directement sur la côte, elle avait servi de nombreuses fois de repère aux bateaux égarés, et ils s’étaient promis de ne jamais l’abandonner. Aujourd’hui adulte, Daniel revient sur les lieux de son enfance. Lorsqu’il entre dans cette maison abandonnée depuis tant d’années, son « enfance » est là, bien vivante, qui désensable la maison dans l’attente du retour du père. Une mystérieuse rencontre qui le conduit au bout de l’horizon.
PRESSE
Le Soleil
14 novembre2002
La pièce de théâtre pour enfants La petite ombre n’a rien d’un film comme Harry Potter qui sature les enfants de personnages colorés et de scènes d’action. La petite ombre suggère davantage qu’elle ne montre, invite à imaginer plutôt qu’à constater.
Le Soir
03 septembre 2003
Dans une scénographie magique, on voyage entre fiction et réel, rire et larmes, passé et présente… Magique, superbement interprété : un spectacle qui bouleverse petits et grands. Un coup de cœur de la presse.
La Libre Belgique
17 septembre 2003
Fin et techniquement très au point, le spectacle aborde avec justesse le drame et l’énigme de la disparition. La petite ombre touche en plein cœur. À découvrir absolument. Un coup de cœur de la presse.
Le Ligueur
17 septembre 2003
Après « Le petit peuple de la brume », le Papyrus offre aux enfants (et aux adultes) une autre tranche de bonheur, en explorant avec délicatesse et une immense sensibilité ce petit enfant qui stagne en chacun de nous et n’a jamais tout à fait tout réglé… Sur la scène, une plate-forme de bois trône sur des amas de sable. Une atmosphère un peu mystérieuse et calfeutrée aux couleurs de travail et d’introspection… pourtant amené ici avec une très grande douceur et d’une totale évidence.
La Libre Belgique
08 octobre 2003
À découvrir également, sans hésiter et sans chercher à retenir ses larmes, « La petite ombre » présentée tout récemment par le Théâtre du Papyrus et le Théâtre Populaire d’Acadie aux Rencontres théâtre jeune public de Huy. Coup de cœur de la presse, nourri de tendresse et d’interrogations nostalgiques, le spectacle nous emmène dans une maison fantôme, celle de l’enfance de Daniel, que son père, marin pêcheur, quitta un jour pour ne jamais plus y revenir.
La Voix du Nord
15 avril 2004
Un spectacle qui réussit à faire naviguer le spectateur (à partir de 7 ans) entre imaginaire, réalité et illusion est, à coup sûr, digne d’intérêt… Une histoire simple pour rendre compte de l’insaisissable et qui séduit immédiatement, comme si le plaisir et l’enthousiasme mis par les comédiens et par toute l’équipe de création se transmettaient instinctivement au spectateur.
Équipe de création
Collectif de création sous la direction de Bernard Chemin, René Cormier et Louise Allaire : Marianne Hansé, Didier de Neck, Bertrand Dugas, Karen De Paduwa, Claire Normand, Luc Rondeau, Jean Hazel et Christine Flasschoen
Distribution
Bernard Chemin
Mise en scène
Louise Allaire et René Cormier
Assistance à la mise en scène
René Cormier
Musique originale
Christine Flasschoen, Jean Hazel et Luc Rondeau
Scénographie
Luc Rondeau
Costumes, accessoires et peinture
Jean Hazel
Lumières
Didier de Neck et Marianne Hansé
Collaboration à la création
Karen De Paduwa, Bertrand Dugas et Kristien Pottie ou Claire Normand
Interprétation
Matthieu Chemin
Régie
Miroir
Prix du jury, Coup de foudre de la Presse, Prix du ministre de la Communauté française de Belgique chargé de la culture et de l’éducation permanente et mention spéciale pour sa qualité artistique exceptionnelle aux Rencontres de Huy 1997. Nominé au prix du meilleur spectacle étranger pour l’année 1998 au Québec.
SYNOPSIS
Une toute petite fille seule dans une grande maison attend le retour de son père en s’inventant des histoires sous la lumière bienveillante d’une bougie. Dans le grand miroir qui trône au-dessus de la cheminée, son reflet prend soudain vie et devient le confident de ses chagrins, de ses espoirs et de ses peurs. Ce compagnon de jeu, tendre et complice, l’entraînera de l’autre côté du miroir pour y découvrir le secret de son père prisonnier de l’oiseau noir.
PRESSE
La Libre Belgique
Juste, fin, émouvant, profond, d’une grande précision et tendant à la perfection, le coup de maître du Théâtre du Papyrus a manifestement fait l’unanimité.
Le Ligueur
Ce spectacle de marionnettes vient toucher les émotions les plus profondes qui dorment au fond de nous et nous relie à la pureté, à l’innocence et à la force de notre propre enfance. On plonge dans cet univers comme dans une peinture. Une sobre alternance de mots, de silences, de musique et d’images composent ce spectacle comme une symphonie.
Sud Alsace
L’extrême tendresse des personnages, la beauté et la magie du décor font de « Miroir » un spectacle rare, un bijou délicat qu’on emporte avec soi lorsqu’on quitte le théâtre.
Distribution
Bernard Chemin, Christine Flasschoen, Rose Hansé, Hugues Hausman et Michel Verheyden
Création collective
Rose Hansé, Hugues Hausman, Michel Verheyden
Comédiens
Bernard Chemin
Mise en scène
Christine Flasschoen
Affiche, décor, costumes et masque
Rose Hansé et Christine Flasschoen
Marionnettes
Bernard Chemin et Juan Marquez
Décor sonore
Didier de Neck, Isabelle Soupart et Raymond Honnay
Avec la collaboration
L’île aux crayons
Prix du Ministre de l’Enseignement de la Communauté française de Belgique aux Rencontres de Huy 1993.
SYNOPSIS
Depuis longtemps Jérôme vit dans un petit monde clos d’où rien ne semble pouvoir le déloger. Mais tout à coup, le temps se met à dérailler : le coucou de son horloge s’est envolé. Un œuf est là, mystérieux, perdu, orphelin, un œuf à secourir, un œuf à rassurer, un être tout neuf qui un jour sortira, sortira pas de sa coquille. Devant cette mission inattendue, Jérôme hésite… Va-t-il se laisser prendre à ce jeu qui ressemble étrangement à la vie ? Va-t-il s’attacher à cet œuf, miroir de sa propre enfance ? Pour l’en convaincre, Oncle Nelson et Tante Olga, tour à tour malicieux ou bienveillants, sortent de leur cadre et déroulent pour lui un chemin comme il n’en a jamais pris, un chemin parsemé de souvenirs tendres ou cruels au bout duquel surgira peut-être enfin l’irrésistible envie d’être un homme heureux.
PRESSE
La Libre Belgique
Anne Mawis et Sonia Perouse […] les images se bousculent, superbes-il faut admirer les costumes, le décor, la chaleur des étoffes, les mots, les sons, la musique. Et ce sont elles qui enrichissent pour longtemps notre imaginaire.
Le Ligueur
Claire Coljon Une pièce sur la recherche de soi, imagée par la symbolique de l’oeuf, des arbres et des crayons. L’origine, les racines et l’histoire…Comme dit Peter Brook, la nature même du théâtre.
La Cité
Claire Coljon & Anne-Françoise Moyson Pour dire l’enfance perdue, le Théâtre du Papyrus a osé le surréalisme. Et quel surréalisme ! Celui de l’émotion peinte en tableaux subtilement enchevêtrés, celui d’une fresque qui dessine l’histoire de Jérôme, à qui le coucou de la pendule a confié son oeuf…étonnant bonheur.
Tremplin
Évelyne Wilwerth Découvrir ce spectacle, c’est s’offrir plein de beauté et de rêve. Plein d’images superbes et mystérieuses. Et, après la représentation, tu auras envie d’ouvrir plus fort encore les bras à la vie, à l’inconnu.
Distribution
Bernard Chemin, Rose Hansé, Hugues Hausman, Fujio Ishimaru
Création collective
Rose Hansé, Hugues Hausman, Fujio Ishimaru
Comédiens
Bernard Chemin
Mise en scène
Pierre-Alain Breeveld
Régie et éclairage
variations sur un air traditionnel suédois : Charles Loos
Musique
Bernard Chemin et Jean Debefve
Décor sonore
collectif
Décor et costume
Damien Chemin
Illustrations